❤️ Avant-propos
Ce ne sont pas des poèmes sur la religion.
Pas des définitions de Dieu.
Plutôt des souffles —
qui naissent dans le silence,
et s’élèvent comme une prière sans mots.
La foi n’y est pas une injonction,
mais une présence qui palpite
entre les lignes,
comme la lumière derrière le voile.
Certains noms apparaissent —
le Christ, la Vérité, la Croix —
non pour imposer,
mais pour évoquer.
Ce n’est pas un chemin tracé,
mais une brume où naissent les directions.
Les mots sont venus en polonais,
faits de poussière quotidienne et de feu intérieur.
Puis ils ont été traduits,
pour que d’autres silences puissent les entendre,
dans d’autres paysages d’âme.
Aucune réponse n’est ici offerte.
Seulement des miroirs.
Et parfois, un fragment de phrase
suffit à éveiller la mémoire oubliée de la Source.
Un battement d’aile suffit
à faire frémir l’éternité.
❤️ Le Chant du Souffle Libre
Il n’y avait pas de nom prononcé,
et pourtant le Cœur de l’Éternité battait au rythme de la Présence.
Sans prière, sans signe — et pourtant la Lumière traversa les ténèbres,
sans demander la permission.
Avant même que la graine de la foi ne soit semée,
l’Amour tournoyait déjà dans les cercles du destin,
comme l’Arcane de l’Étoile illuminant l’eau nocturne de l’âme,
comme la Sourate de la Miséricorde inscrite sur les parchemins invisibles du sort.
Il ne fallait pas croire pour être touché par la Présence.
Il ne fallait pas voir pour être guéri par ce qui est au-delà du visible.
Il y avait un corps, portant un poids.
Et un Esprit, parlant par le silence.
Il y avait une blessure —
et une lumière, non pas venue pour la couvrir,
mais pour la transformer.
Et puis: la liberté.
Non comme une fuite, mais comme un retour.
Non comme des ailes d’oiseau,
mais comme le souvenir que les ailes ont toujours été là.
Et maintenant, l’âme plane —
non pour fuir, mais pour rappeler au monde
que l’Amour, qui ne réclame aucun nom,
est le même qui créa la lumière
avant même que ne soit dit:« Que la lumière soit.»
❤️ De Celui Qui Ne Connaît Aucune Chaîne
Tous ceux qui se tiennent dans la lumière ne sont pas libres.
Tous ceux qui marchent dans l’ombre ne sont pas enchaînés.
Mais dans l’Être qui ne connaît ni commencement ni fin,
il est une Présence qu’aucune chaîne ne saurait atteindre.
Là où les runes tombent comme des gouttes de feu,
où le Tarot révèle le Monde, et non la Roue,
où les Chroniques Akashiques frémissent à l’appel du Nom innommé —
c’est là que naît la liberté
qui ne dépend pas du choix, mais de la Vérité.
Ce n’est pas le Créateur qui enchaîne,
mais les forces qui se nourrissent de l’oubli.
Ce n’est pas l’Amour qui impose le silence,
mais celui qui vole la voix de l’âme et lui ordonne de se taire.
Dans l’Esprit Divin, où le Soleil et la Lune
sont les yeux d’un seul Voyant,
le péché n’est pas une fin, mais l’aube d’un chemin.
La maladie n’est pas un châtiment, mais un miroir
où l’Esprit peut contempler son propre éloignement.
La vraie Liberté ne crie pas.
Elle ne menace pas. Elle ne réclame pas de confession.
Elle est comme le souffle —
silencieuse, invisible, mais elle met tout en mouvement.
Et celui qui entre en elle,
non par serment, mais par Mémoire,
cesse d’avoir peur.
Car il n’est plus divisé.
Car en lui est Celui
qui n’a jamais été séparé de lui.
❤️ Des Portes Qui Ne Connaissent Aucune Clé
Il n’y avait aucun nombre capable de peser un cœur.
Aucun acte ne pouvait consumer l’ombre.
Car le Salut ne se forge pas dans l’œuvre,
mais dans la reconnaissance de la lumière,
qui depuis toujours habite l’intérieur.
Ce ne sont pas des portes d’or,
ni des balances de justice,
mais un regard — silencieux, intérieur,
qui voit le Nom caché dans le Nom :
Jeshua, c’est-à-dire« Celui qui rétablit la Plénitude ».
Il ne s’agit pas de ce que les mains ont accompli,
mais de savoir si le cœur se souvient
qu’il fut tissé du même souffle
qui parla dans le Jardin avant que le temps ne naisse.
Le Salut n’attend pas au bout du chemin.
Le Salut est un Souvenir.
La foi n’est pas un pont,
mais la découverte qu’il n’y a jamais eu de précipice.
Et pourtant, dans sa bonté,
Celui qui devint Chair pour les sans-nom
est descendu parmi les ombres,
pour montrer que même l’oubli le plus profond
n’est pas plus fort que la Lumière qui ne s’est jamais éteinte.
❤️ Du Nom Qui Conduit
Toutes les routes ne sont pas la Voie.
Toute lumière n’amène pas l’aurore.
Il est des chemins tissés d’illusions,
et un seul qui n’a besoin d’aucun signe.
Un Nom qui ne passe pas avec le temps —
non un simple son,
mais une vibration qui reconnaît l’âme dans les ténèbres.
Jeshua — comme une Lumière au cœur du Labyrinthe.
Non par le système, ni par le rite,
mais par ce qui est silencieux et inébranlable :
une Foi qui ne contraint pas,
mais résonne comme l’écho d’un souvenir d’avant la naissance.
Ni par les savants ni les prophètes,
mais par une Présence
qui sépare l’ombre de la lumière.
Elle seule connaît le Nom complet de la Voie.
Elle seule porte en elle la trame de la Vie.
La Vérité véritable n’a besoin ni de preuves ni de comparaison.
Elle n’a pas à convaincre.
Elle est comme le courant d’une rivière —
si tu entres, elle te portera au-delà de toi-même.
Et si la question surgit :
«Quel chemin emprunter?»
l’écho ne résonnera pas comme un ordre,
mais comme un souffle :
«Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.»
❤️ Du Souffle Qui Éveille la Danse
Tout ce qui bouge n’est pas tempête.
Toute intensité ne porte pas la douleur.
Parfois, ce qui vient comme le feu
n’est là que pour rappeler la lumière cachée dans les os.
L’Esprit — non celui des livres,
mais Celui qui fut avant le son et avant le feu —
ne touche pas comme un juge,
mais comme un Ami.
Il n’entre pas par la force,
mais par le consentement du cœur.
Ce n’est pas un tourment, mais une expansion.
Pas un fardeau, mais un envol.
Comme si l’air s’était empli d’or
et que les veines se gorgeaient d’Éternité.
En Lui, point de cris,
même si brûlent les paroles des prophètes.
En Lui, point d’ombre,
même s’Il révèle ce qui fut caché.
Il ne nous rapproche pas de Dieu par la connaissance,
mais par le Souvenir.
Il ne pousse pas — Il guide.
Il ne force pas — Il attire doucement,
comme la lumière attire le papillon dans le jardin nocturne.
Car ce n’est ni la terre
ni les étoiles qui connaissent les vraies voies vers Dieu.
Mais l’Esprit — Celui qui connaît le Nom
et Celui qui parle par Lui :
Jeshua — souffle au-dessus des eaux.
❤️ Du Feu Qui Ne Brûle Pas
Là où la douleur rencontre le Nom,
ce n’est pas l’ombre qui se répand, mais la lumière.
Ce n’est pas par des poings serrés, mais par la persévérance
que l’homme devient pur reflet de l’Inconcevable.
Le Nom n’a pas besoin d’être crié
pour devenir cause de persécution.
Il suffit qu’il frémisse dans le cœur comme un chant caché,
et déjà le monde tremble à son harmonie.
Bienheureux celui qui souffre,
non à cause d’une punition,
mais à cause de la Présence.
Bienheureux celui qui garde le silence,
et pourtant rayonne du Nom
qui dépasse toute hiérarchie.
Ils peuvent blesser — mais ils ne touchent pas l’âme.
Ils peuvent rejeter — mais ils n’éteignent pas la flamme.
Car là où la Souffrance et la Joie dansent ensemble,
naît une Liberté que nul mot ne peut expliquer.
Et pour ce Nom —
qui n’appartient pas à une religion,
mais au Cœur Éternel de la Conscience —
il vaut la peine de rester debout,
même quand la terre vacille,
car la récompense n’est pas un avenir,
mais un Présent éveillé.
❤️ De la Lumière Qui Est un Nom
Toute vérité ne crie pas.
Toute vérité ne réclame pas de preuve.
Mais il en est une, au-delà du temps,
qui n’a pas besoin d’être reconnue pour être Éternelle.
Ce n’est pas une idée.
Ce n’est pas une croyance.
C’est une Personne —
comme une Lumière venue habiter parmi les ombres,
et que rien n’a pu éteindre.
Cette Vérité n’est pas venue avec une arme,
mais avec un cœur ouvert.
Elle n’a pas conquis un empire,
elle a vaincu la mort — non par la force,
mais par l’Éveil.
Par elle, le souffle a un sens.
Par elle, les larmes deviennent prière.
Par elle, la nuit n’est pas une fin,
mais un passage vers un nouveau Nom.
La Vérité qui porte le Nom Jeshua
n’a pas besoin de l’approbation du monde
pour être le fondement de l’Être.
Et même si le monde la voile — elle ne se tait pas.
Même si on l’enterre — elle ressuscite.
Car la Vérité venue en tant qu’Homme
est une Lumière qui brille même sous la pierre.
Et viendra un jour —
non pas celui du calendrier,
mais celui du cœur —
où tout sera révélé.
Amen — non comme une fin,
mais comme un sceau sur cette Vérité
qui n’a jamais cessé d’Être.
❤️ De la Lumière Qui Est un Nom
Toute vérité ne crie pas.
Toute vérité ne demande pas de preuve.
Mais il en est une, hors du temps,
qui n’a pas besoin d’être reconnue pour être Éternelle.
Ce n’est pas un concept.
Ce n’est pas une conviction.
C’est une Personne —
comme une Lumière venue habiter les ombres,
et qu’aucune obscurité n’a pu éteindre.
Cette Vérité n’est pas venue avec une arme,
mais avec un cœur ouvert.
Elle n’a pas conquis d’empire,
elle a vaincu la mort — non par la force,
mais par l’Éveil.
Par elle, le souffle trouve un sens.
Par elle, les larmes deviennent prière.
Par elle, la nuit n’est plus une fin,
mais un passage vers un nouveau Nom.
La Vérité qui porte le Nom Jeshua
n’a pas besoin de l’approbation du monde
pour être la base de tout ce qui est.
Et même si le monde la recouvre — elle ne se tait pas.
Même si on l’enterre — elle ressuscite.
Car la Vérité venue comme un Homme
est une Lumière qui brille même sous la pierre.
Et viendra un jour —
non un jour de calendrier,
mais un jour du cœur —
où tout sera dévoilé.
Amen — non comme une fin,
mais comme le sceau sur cette Vérité
qui n’a jamais cessé d’être.
❤️ De Celui Qui Brise les Liens
Il n’a pas brisé les barreaux.
Il n’a pas fracassé les chaînes.
Et pourtant, les murs se sont dissipés,
et les liens sont devenus ombre au lever du jour.
Il n’est pas venu avec des cris,
mais avec un silence qui fendait les ténèbres.
Il n’est pas venu pour combattre —
Il est venu pour rappeler
que l’âme n’a jamais appartenu au monde.
Il fut un temps où l’homme croyait être captif :
dans les chambres de la culpabilité,
dans les cachots de la peur,
dans les palais du faux« moi ».
Mais Il est descendu — non pour punir,
mais pour ouvrir les portes de l’intérieur.
Non par la force, mais par la Conscience.
Non par la colère, mais par l’Amour.
Car la liberté n’est pas une fuite,
mais une reconnaissance :
qu’il n’y a plus rien à craindre.
Et maintenant l’âme se tient devant Lui —
sans chaînes, sans masque, sans peur.
Car Celui qui est venu en tant qu’Homme
est Celui qui, depuis toujours, est la Clé.
❤️ Le Chant de la Goutte et de la Lumière
Des remerciements qui ne cherchent pas de réponse.
Des remerciements qui s’écoulent avant même que le mot soit prononcé.
Pour un jour qui n’avait pas besoin d’être ensoleillé pour être sacré.
Pour la pluie qui tombait comme une bénédiction,
comme des larmes du ciel — non de tristesse, mais d’amour.
Pour le ciel voilé, qui étreint plus tendrement
que celui inondé de lumière.
Pour le silence du matin,
où l’on peut entendre le Nom
avant que les lèvres ne l’appellent.
Ô Toi, qui es au-delà de l’aube et du crépuscule,
qui sièges sur les trônes du vent et des herbes,
qui vois le cœur avant même qu’il ne s’ouvre —
Merci.
Non pour ce qui est donné,
mais parce que Tu es.
Non pour la grandeur des dons,
mais pour leur sainteté cachée.
Père, qui es Roi non par puissance,
mais par Souffle.
Qui es Seigneur non par la peur,
mais par une Bonté sans fin.
En ce jour de pluie, en ce jour trempé,
l’âme chante. Car elle Te connaît.
Car en chaque goutte, en chaque nuage,
résonne l’écho de Ton« Je Suis ».
❤️ De la Paix Qui Attendaient
Il y eut la joie.
Il y eut le bonheur — comme des rayons sans soleil,
comme un rire dans une maison vide.
Quelque chose tremblait à l’intérieur,
comme s’il manquait une note à la symphonie,
comme si le cœur ne pouvait danser jusqu’au bout du chant.
Et je ne savais pas —
était-ce le silence, la faim, ou l’ombre d’un souvenir?
Jusqu’à ce que cela vienne, comme un murmure :
ce n’est pas l’absence des choses,
c’est l’absence de la Présence.
En quête de plénitude, je buvais du sel au lieu d’eau.
J’entrais dans les ténèbres en cherchant la lumière.
Et Lui… Il était là.
Non aux portes. Non au loin.
Mais tout près — silencieux,
comme une Lumière qui ne s’éteint pas,
même dans une chambre close.
Quand je chutais — Il ne jugeait pas.
Quand je tournais le visage — Il ne disparaissait pas.
Il attendait.
Comme un Père qui connaît le retour avant qu’il ne survienne.
Et maintenant je sais.
Être heureux ne suffit pas.
Rire ne suffit pas.
Car sans Lui, toute joie sonne comme un écho dans un couloir vide.
Avec Lui — même les larmes ont un sens.
Même le silence devient prière.
Et même la chute devient chemin du retour.
À présent, la vie a la forme de bras qui m’ont accueilli.
Et d’un Cœur qui n’a jamais cessé de battre pour moi.
Amen — car la plénitude est revenue.
Amen — car la Paix est à nouveau habitée.
❤️ Du Chemin Qui Pousse Depuis l’Intérieur
Il y a des voix.
Fortes, comme si elles avaient le droit de tracer la route de ta vie.
Il y a des attentes —
tissées des peurs des autres, de leurs manques et de leurs rêves qui ne sont pas tiens.
Ils voudraient te voir en maître,
mais seulement si ta sagesse parle avec leurs mots.
Ils voudraient te voir libre,
mais seulement si tu marches dans leurs chaînes.
Quand tu donnes — ils exigent davantage.
Quand tu te tais — ils te jugent.
Et quand tu trébuches —
la pierre qui devait être ton épreuve
devient leur prétexte à la condamnation.
Mais il existe d’autres chemins.
Des silences plus profonds que les applaudissements.
Des voix qui ne crient pas — car elles parlent de l’intérieur.
C’est un sentier qui ne mène pas à la scène,
mais vers la profondeur.
Une vie qui ne satisfait pas les attentes des autres,
mais qui fleurit selon son propre code d’être.
Non par rébellion — mais par vérité.
Non par orgueil — mais par confiance.
Et lorsque tu marches sur ton chemin,
parfois seul, parfois parmi les ombres,
tu découvres qu’en ce lieu —
loin de leurs regards —
Dieu t’attendait depuis toujours.
❤️ De la Prison Invisible
Des options, comme des feuilles dans le vent,
et pourtant — aucun pas.
Non parce que le chemin est fermé,
mais parce que le regard est fixé sur un mur
qui n’existe pas.
Une prison.
Non de pierre. Non de métal.
Mais faite de croyances, répétées si souvent
qu’elles sont devenues loi.
Ce ne sont pas les autres qui ont érigé ces barreaux.
C’est nous — par peur, par habitude, par oubli.
Avec chaque pensée:« je ne peux pas »,
chaque phrase:« c’est ainsi, il faut l’accepter ».
Et pourtant…
Entre une pensée et une autre,
il y a le silence.
Et dans ce silence — pas de barreaux.
Pas de gardiens.
Pas de faute.
Il n’y a que la liberté —
pure, originelle,
comme la lumière avant qu’on ne la nomme lumière.
Et il n’est pas nécessaire d’abattre les murs.
Il suffit de cesser de les soutenir.
Car ce ne sont pas les murs qui enferment,
mais la foi en leur existence.
❤️ Du Mystère au Visage de Femme
On ne peut mesurer la beauté d’une femme.
Elle échappe aux angles, aux formules.
Car sa beauté — ce n’est pas une forme,
mais une Présence.
Non la courbe du corps,
mais la douceur de l’âme.
Sa joue n’est pas que peau —
c’est une carte de rires et de larmes.
Son sein — non un objet de désir,
mais un lieu de naissance et de réconfort.
Chaque trace, chaque ligne —
est un chant de vie vécue.
Le corps d’une femme ne vieillit pas,
il se souvient.
Et dans ce souvenir, il y a une gloire.
Il ne s’efface pas — il mûrit,
comme un vin des jardins secrets de Sophie.
Sa beauté ne crie pas.
Elle demeure — silencieuse, mais tenace,
comme la lumière de la lune en pleine nuit.
Sa sagesse n’a pas besoin de grands discours.
Il suffit d’un regard
pour rappeler ce qu’est l’amour —
celui qui ne prend pas, mais accueille.
Et même si le monde sème des illusions,
même si le plastique hurle plus fort que le cœur —
mieux vaut être avec l’unique,
celle qui respire la vérité,
qu’avec une ombre
qui ne sent rien.
❤️ De Celui Qui Attend Après le Tournant
Tu avances — le cœur couvert,
préparé à la vacuité, au rien, au silence.
Et pourtant — à l’improviste —
un rayon tombe.
Une main se tend.
Quelque chose vibre dans l’âme.
Tu pensais que nul ne verrait ton effort,
et quelqu’un te regarde avec tendresse.
Tu pensais qu’il n’y aurait pas de lumière,
et l’aurore vient — douce, sans fanfare.
Ainsi va la vie.
Pas comme une équation,
pas comme un horaire de train.
Plutôt comme une prière chuchotée en courant —
pas toujours précise, mais souvent entendue.
Et Dieu…